vendredi 26 juillet 2013







J'aime bien les petits bouquins 
qui n'ont l'air de rien, 
mais qui, 
dès les premières lignes, 
te happent et ne te ne lâchent plus :




Je me suis dit : "Les escaliers, il ne te reste plus que les escaliers. Si tu prends l'ascenseur, alors ça voudra dire que tu as vraiment renoncé à tout".
...








Résumé :

 "Bernard ne sait pas bien comment c'est arrivé mais, à cinquante ans, 
le voilà obligé de retourner vivre chez ses parents."





Bon, même si j'ai aimé ce livre, j'avoue avoir été un brin agacée, au premier chapitre, à cause du coup de la chevelure dans laquelle le Bernard -lui aussi- "aurait pu partir en vacances" (ça vous rappelle quelque chose, n'est-ce pas ? ...on est d'accord ! ;)






"J'avais vécu ma vie comme d'autres partent en vacances, et ma femme avait été une île où je me reposais en bronzant. Voilà que je me relevais subitement de mon passé, tout brûlé." 


"Je me suis retrouvé à l'hôtel. Accoudé à la fenêtre de ma chambre, je fumais cigarettes sur cigarettes en contemplant ma ville. J'avais l'impression d'être subitement un touriste de ma vie".



David Foenkinos sillonnerait-il les chemins de la vie comme d'autres sillonnent le monde ? 



Un tout petit livre donc, tout rectangulaire, et qui ne paie pas de mine. Une couverture tristounette, qui ne donne pas envie ... et pourtant, une lecture rapide et agréable, qui fait souvent sourire ...  à ne pas se refuser.






2 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  2. Elle est sympa cette petite collection ! Je l'ai trouvé drôle aussi ce livre !

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